« La première chose que l’on voit en arrivant est un spectacle de désolation, et de l’eau, beaucoup d’eau. Apparemment, la situation en-dehors de la ville de Beira serait encore plus désastreuse. Depuis notre arrivée, nous nous sommes concentrés sur les besoins des 500 000 habitants de Beira dont la plupart des maisons sont endommagées ou détruites.
Mais la vie continue en quelque sorte. Les gens retournent au travail et cherchent de la nourriture au milieu d’arbres déracinés qui jonchent le sol. Des personnes tentent de réparer leur maison ou de remplacer leur toit. Et il pleut encore abondamment. Il faudra beaucoup de temps avant que les eaux ne se retirent.