Urgence Gaza/Liban

Gaza : un rapport de MSF dénonce la campagne
de destruction totale menée par Israël

Lire le rapport

Faites un don

Chapo

Nos équipes sont mobilisées 24h/24 pour venir en aide aux victimes. Faites un don au “Fonds régional - Urgence Gaza" pour nous aider à poursuivre nos actions dans les zones touchées par ce conflit.

Je soutiens les actions de MSF

Les réfugiés somaliens attendent une place dans les camps surpeuplés du Kenya

Dans le désert au nord est du Kenya les nouveaux réfugiés arrivés de Somalie vivent dans des abris précaires faits de bâtons de cordes et de bâches en plastique.  Nenna Arnold /MSF
<p>Dans le désert au nord-est du Kenya, les nouveaux réfugiés arrivés de Somalie vivent dans des abris précaires faits de bâtons, de cordes et de bâches en plastique. <br />© Nenna Arnold /MSF</p>

Dans le désert au nord-est du Kenya, les nouveaux réfugiés arrivés de Somalie vivent dans des abris précaires faits de bâtons, de cordes et de bâches en plastique.
© Nenna Arnold /MSF

Voici Dadaab. Etablit il y a 20 pour héberger 90'000 réfugiés fuyant la guerre civile en Somalie, le camp accueille aujourd'hui plus de 350'000 personnes et le nombre de nouveaux arrivants ne cesse de croître.
© Natasha Lewer / MSF

Fatima, âgée de 60 ans, est arrivée hier soir à Dadaab après un voyage de neuf jours. Ne trouvant plus de place dans le camp pour y construire une maison, elle s'est installée avec la famille de sa fille dans le désert. « J'ai quitté la Somalie suite à la mort de mon mari, ma vie était détruite. Je n'avais plus rien à perdre » raconte-t-elle.
© Natasha Lewer / MSF

Les abris offrent une protection contre le soleil et la poussière omniprésente mais les réfugiés récemment arrivés attendent en moyenne 12 jours pour recevoir de la nourriture et plus d'un mois pour d'autres biens essentiels tels que des couvertures et des ustensiles de cuisine.
© Nenna Arnold /MSF

L'eau dans les camps est pompée sous le désert. Cependant il n'y a jamais assez d'eau et les réfugiés doivent faire la queue des heures durant afin de remplir des jerrycans.
© Nenna Arnold /MSF

L’équipe MSF sort tous les jours dans le désert pour trouver les réfugiés ayant un besoin urgent d’attention médicale.
© Nenna Arnold /MSF

40 % des enfants n'ont jamais été vaccinés, ce qui augment les risques d'épidémies.
© Nenna Arnold /MSF

Un bébé est ausculté pour vérifier qu’il ne souffre pas de malnutrition, un état fréquent chez les enfants de moins de 5 ans qui résulte de la sécheresse en Somalie, de l’harassant voyage des réfugiés ainsi que de la longue attente de distribution de nourriture une fois arrivés dans les camps.
© Nenna Arnold /MSF

Mesure brachial d'un enfant pour diagnostiquer la malnutrition. Un deuxième pavillon a été ouvert dans l'hôpital MSF afin de gérer le grand nombre d'enfants sévèrement malnutris ayant des complications médicales.
© Nenna Arnold /MSF

Plus de 750 enfants malnutris reçoivent des soins ambulatoires à l'hôpital alors que 7 000 familles avec des enfants à risque de tomber dans un état de malnutrition font la queue tous les quinze jours afin de recevoir des doses supplémentaires de nourriture.
© Natasha Lewer / MSF

Dadaab est plein d’enfants. Le nombre de bébés nés dans la maternité a doublé depuis l’année dernière. Avec une population dans les camps devant atteindre 450 000 personnes à la fin de l’année et la disponibilité réduite de services essentiels, le futur de ces enfants est bien sombre.
© Nenna Arnold /MSF

1 / 11

Dans le désert au nord-est du Kenya, les nouveaux réfugiés arrivés de Somalie vivent dans des abris précaires faits de bâtons, de cordes et de bâches en plastique.
© Nenna Arnold /MSF

Voici Dadaab. Etablit il y a 20 pour héberger 90'000 réfugiés fuyant la guerre civile en Somalie, le camp accueille aujourd'hui plus de 350'000 personnes et le nombre de nouveaux arrivants ne cesse de croître.
© Natasha Lewer / MSF

Fatima, âgée de 60 ans, est arrivée hier soir à Dadaab après un voyage de neuf jours. Ne trouvant plus de place dans le camp pour y construire une maison, elle s'est installée avec la famille de sa fille dans le désert. « J'ai quitté la Somalie suite à la mort de mon mari, ma vie était détruite. Je n'avais plus rien à perdre » raconte-t-elle.
© Natasha Lewer / MSF

Les abris offrent une protection contre le soleil et la poussière omniprésente mais les réfugiés récemment arrivés attendent en moyenne 12 jours pour recevoir de la nourriture et plus d'un mois pour d'autres biens essentiels tels que des couvertures et des ustensiles de cuisine.
© Nenna Arnold /MSF

L'eau dans les camps est pompée sous le désert. Cependant il n'y a jamais assez d'eau et les réfugiés doivent faire la queue des heures durant afin de remplir des jerrycans.
© Nenna Arnold /MSF

L’équipe MSF sort tous les jours dans le désert pour trouver les réfugiés ayant un besoin urgent d’attention médicale.
© Nenna Arnold /MSF

40 % des enfants n'ont jamais été vaccinés, ce qui augment les risques d'épidémies.
© Nenna Arnold /MSF

Un bébé est ausculté pour vérifier qu’il ne souffre pas de malnutrition, un état fréquent chez les enfants de moins de 5 ans qui résulte de la sécheresse en Somalie, de l’harassant voyage des réfugiés ainsi que de la longue attente de distribution de nourriture une fois arrivés dans les camps.
© Nenna Arnold /MSF

Mesure brachial d'un enfant pour diagnostiquer la malnutrition. Un deuxième pavillon a été ouvert dans l'hôpital MSF afin de gérer le grand nombre d'enfants sévèrement malnutris ayant des complications médicales.
© Nenna Arnold /MSF

Plus de 750 enfants malnutris reçoivent des soins ambulatoires à l'hôpital alors que 7 000 familles avec des enfants à risque de tomber dans un état de malnutrition font la queue tous les quinze jours afin de recevoir des doses supplémentaires de nourriture.
© Natasha Lewer / MSF

Dadaab est plein d’enfants. Le nombre de bébés nés dans la maternité a doublé depuis l’année dernière. Avec une population dans les camps devant atteindre 450 000 personnes à la fin de l’année et la disponibilité réduite de services essentiels, le futur de ces enfants est bien sombre.
© Nenna Arnold /MSF

1 / 11

Notes

    À lire aussi