Soigner, encourager, aider :quelques facettes des activités MSF en Haïti

Une enfant vivant dans le camp de Saint Louis  dans le quartier de Delmas Port au Prince.
 Clotilde Delarue/MSF
<p>Une enfant vivant dans le camp de Saint-Louis, dans le quartier de Delmas, Port-au-Prince.</p> <p><br />© Clotilde Delarue/MSF</p>

Une enfant vivant dans le camp de Saint-Louis, dans le quartier de Delmas, Port-au-Prince.


© Clotilde Delarue/MSF

Un chirurgien orthopédique contrôle sur une radio l'évolution d'une fracture. Un fixateur externe a été mis en place. Plus de 7 600 interventions chirurgicales ont été pratiquées depuis le tremblement de terre. Les patients peuvent être suivis, selon les besoins, jusqu'à la rééducation fonctionnelle, comprenant notamment la kinésithérapie et l'aide psychologique.

© Chip Somodevilla/Getty Images

Le centre de rééducation fonctionnelle de Tabarre a été minutieusement conçu pour limiter au maximum les difficultés physiques dues au handicap et pour recréer des liens : des chemins praticables, des zones d'ombres où discuter... Au cours des quatre derniers mois, MSF a pris en charge plus de 14 600 patients pour des soins post-opératoires complets.

© Brigitte Guerber-Cahuzac/MSF

« Il y a les patients blessés pendant le tremblement de terre qui ont besoin de chirurgie orthopédique et de reprise, mais il y a aussi les besoins de santé du quotidien qui ont repris leurs droits, comme les accidents de voiture ou les accidents domestiques », explique John Pratt, médecin à l'hôpital Saint-Louis de MSF à Port-au-Prince.

© Clotilde Delarue/MSF

Plus de 40 500 kits contenant du matériel, notamment d'hygiène et de cuisine, ont été distribués par MSF. Plus de 28 000 tentes ont également été données.

© Michael Goldfarb/MSF

Plus de 800 latrines et 200 douches ont été construites. En outre, plus de 700 mètres cubes d'eau sont distribués quotidiennement.

© Brigitte Guerber-Cahuzac/MSF

Les anciens bâtiments ne sont souvent plus utilisables, comme celui de l'hôpital MSF la Trinité. Avec l'arrivée des pluies et l'approche de la saison des ouragans (août-septembre), MSF transfère progressivement ses activités médicales en tentes vers des structures permanentes ou semi-permanentes.

© Clotilde Delarue/MSF

1 / 7

Une enfant vivant dans le camp de Saint-Louis, dans le quartier de Delmas, Port-au-Prince.


© Clotilde Delarue/MSF

Un chirurgien orthopédique contrôle sur une radio l'évolution d'une fracture. Un fixateur externe a été mis en place. Plus de 7 600 interventions chirurgicales ont été pratiquées depuis le tremblement de terre. Les patients peuvent être suivis, selon les besoins, jusqu'à la rééducation fonctionnelle, comprenant notamment la kinésithérapie et l'aide psychologique.

© Chip Somodevilla/Getty Images

Le centre de rééducation fonctionnelle de Tabarre a été minutieusement conçu pour limiter au maximum les difficultés physiques dues au handicap et pour recréer des liens : des chemins praticables, des zones d'ombres où discuter... Au cours des quatre derniers mois, MSF a pris en charge plus de 14 600 patients pour des soins post-opératoires complets.

© Brigitte Guerber-Cahuzac/MSF

« Il y a les patients blessés pendant le tremblement de terre qui ont besoin de chirurgie orthopédique et de reprise, mais il y a aussi les besoins de santé du quotidien qui ont repris leurs droits, comme les accidents de voiture ou les accidents domestiques », explique John Pratt, médecin à l'hôpital Saint-Louis de MSF à Port-au-Prince.

© Clotilde Delarue/MSF

Plus de 40 500 kits contenant du matériel, notamment d'hygiène et de cuisine, ont été distribués par MSF. Plus de 28 000 tentes ont également été données.

© Michael Goldfarb/MSF

Plus de 800 latrines et 200 douches ont été construites. En outre, plus de 700 mètres cubes d'eau sont distribués quotidiennement.

© Brigitte Guerber-Cahuzac/MSF

Les anciens bâtiments ne sont souvent plus utilisables, comme celui de l'hôpital MSF la Trinité. Avec l'arrivée des pluies et l'approche de la saison des ouragans (août-septembre), MSF transfère progressivement ses activités médicales en tentes vers des structures permanentes ou semi-permanentes.

© Clotilde Delarue/MSF

1 / 7

Notes

    À lire aussi