À la frontière orientale de l’Italie, les personnes qui arrivent à pied après avoir parcouru la « route des Balkans », traversant des bois et des sentiers, se plaignent souvent d’avoir été battues par la police bosniaque ou croate.
Alors que le nombre global de personnes est moins élevé qu'il y a quelques années, les humiliations, la violence, les luttes et le harcèlement subis par ces hommes, femmes et enfants au cours de leurs voyages n'ont pas changé. La seule chose qui les fait tenir, malgré tout ce qu'ils ont enduré, est la chance d'atteindre enfin leur destination.