Ouest du Kenya - auprès des populations déplacées

Dans la région de Kericho, les femmes du camp de Kamwingi 2 ne pouvaient puiser de l'eau que dans cette rivière. MSF est intervenue pour assurer un accès à de l'eau propre et potable.
© William Martin/MSF - A Montaragon, l'approvisionnement en eau était insuffisant. L'équipe mobile de MSF a donc effectué des branchements pour que les personnes déplacées aient accès à l'eau, mais aussi pour que les habitants de Montaragon soient normalement alimentés.
© William Martin/MSF - Le camp de Montaragon - non loin de Kericho - a compté 3 000 personnes, puis au fil des départs, il en est resté 500. Les camps de personnes déplacées s'apparentent souvent à des camps de transit. Basée à Kericho, une équipe de MSF sillonne la région pour apporter une aide médicale et logistique dans différents sites.
© William Martin/MSF - Dans l'ouest du Kenya, les violences post-électorales ont jeté sur les routes des milliers de personnes. Depuis un mois, MSF travaille sur sept sites de déplacés et adapte ses activités en fonction des déplacements des populations.
© William Martin/MSF - L'équipe mobile de MSF qui compte deux logisticiens a installé une pompe pour assurer un approvisionnement en eau aux personnes déplacées. A Kamwingi 2, chaque personne peut recevoir près de 10 litres d'eau par jour.
©William Martin/MSF - Les personnes déplacées ont abandonné leur maison, en chargeant sur des véhicules tout ce qu'elles pouvaient, et parfois aussi leurs meubles. Elles ont fui les violences post-électorales de fin décembre ou les affrontements inter-communautaires qui ont suivi.
© William Martin/MSF - Jusqu'au 27 janvier, l'équipe médicale de MSF a donné près de 320 consultations, dans le camp de Kamwingi 2, à des patients souffrant essentiellement d'infections respiratoires. MSF a aussi vacciné 1200 enfants contre la rougeole et la polio, en accord avec le ministère de la Santé, dans sept différents sites.
© William Martin/MSF - Kisii, des familles prennent le matatu - les minibus qui assurent les transports en commun - pour quitter la ville avec quelques affaires et se mettre en sécurité ailleurs.
Dans la région de Kericho, les femmes du camp de Kamwingi 2 ne pouvaient puiser de l'eau que dans cette rivière. MSF est intervenue pour assurer un accès à de l'eau propre et potable.
© William Martin/MSF - A Montaragon, l'approvisionnement en eau était insuffisant. L'équipe mobile de MSF a donc effectué des branchements pour que les personnes déplacées aient accès à l'eau, mais aussi pour que les habitants de Montaragon soient normalement alimentés.
© William Martin/MSF - Le camp de Montaragon - non loin de Kericho - a compté 3 000 personnes, puis au fil des départs, il en est resté 500. Les camps de personnes déplacées s'apparentent souvent à des camps de transit. Basée à Kericho, une équipe de MSF sillonne la région pour apporter une aide médicale et logistique dans différents sites.
© William Martin/MSF - Dans l'ouest du Kenya, les violences post-électorales ont jeté sur les routes des milliers de personnes. Depuis un mois, MSF travaille sur sept sites de déplacés et adapte ses activités en fonction des déplacements des populations.
© William Martin/MSF - L'équipe mobile de MSF qui compte deux logisticiens a installé une pompe pour assurer un approvisionnement en eau aux personnes déplacées. A Kamwingi 2, chaque personne peut recevoir près de 10 litres d'eau par jour.
©William Martin/MSF - Les personnes déplacées ont abandonné leur maison, en chargeant sur des véhicules tout ce qu'elles pouvaient, et parfois aussi leurs meubles. Elles ont fui les violences post-électorales de fin décembre ou les affrontements inter-communautaires qui ont suivi.
© William Martin/MSF - Jusqu'au 27 janvier, l'équipe médicale de MSF a donné près de 320 consultations, dans le camp de Kamwingi 2, à des patients souffrant essentiellement d'infections respiratoires. MSF a aussi vacciné 1200 enfants contre la rougeole et la polio, en accord avec le ministère de la Santé, dans sept différents sites.
© William Martin/MSF - Kisii, des familles prennent le matatu - les minibus qui assurent les transports en commun - pour quitter la ville avec quelques affaires et se mettre en sécurité ailleurs.