Notre intervention
Médecins Sans Frontières travaillait dans les camps de personnes déplacées des gouvernorats d’Erbil et de Ninive et offrait des soins de santé mentale, ainsi que la prise en charge de maladies chroniques.
Les personnes déplacées souffrent de dépression sévère, d’anxiété ou de réactions au stress aiguës ou peuvent présenter des syndromes de stress post-traumatique. Les équipes de Médecins Sans Frontières offraient également des consultations à des patients qui, avant leur exil, étaient atteints de maladies comme l’épilepsie ou les psychoses.
Pour les personnes atteintes de maladies chroniques, comme l’hypertension ou le diabète, Médecins Sans Frontières proposait un suivi et une prise en charge.
Avec la reprise de Mossoul, en juillet 2017, par les forces irakiennes soutenues par la coalition internationale, des personnes déplacées ont commencé à quitter les camps et certains d’entre eux ont fermé.