Fuir les combats dans le nord-est de l’Irak

Irak Tom koene Mai 2016
Irak, Tom koene, Mai 2016 © Ton Koene

La ville de Jalawla, située dans le nord-est de l’Irak, a subi d’importants dégâts après les combats intenses qui ont eu lieu dans la région.

En mai 2016, le photographe hollandais Ton Koene a documenté la vie quotidienne de dizaines de milliers de déplacés en Irak, dans les gouvernorats de Souleymanieh et de Diyala, situés dans le nord-est du pays.

De nombreux habitants ont fui Jalawla lorsqu’elle a été prise par les combattants de l’État Islamique, qui ont ensuite abandonné la ville pendant l’offensive de l’armée irakienne.

Le poste de garde de l’entrée de la clinique de MSF dans le camp de Khanaqin (Alwand1) situé dans le nord-est de l’Irak.

MSF a petit à petit augmenté ses activités dans 11 gouvernorats irakiens afin de fournir gratuitement des soins de santé, des services de santé mentale et des kits de secours aux déplacés, aux rapatriés, aux communautés d'accueil et aux réfugiés syriens.

MSF propose des soins de santé mentale aux déplacés du camp de Khanaqin.

Une séance de soutien psycho-social dans le camp de Khanaqin.

La clinique de MSF pour les maladies non contagieuses du camp de Khanaqin. Ici les médecins examinent des patientes atteintes de diabète et de palpitations cardiaques. Des pathologies qui nécessitent des visites médicales régulières.

Les déplacés du camp utilisent des citernes et de gros bidons pour accéder à l’eau potable.

 Dans le camp de Khanaqin, la vie s’organise. Des déplacés ont recréé de petits commerces.

Un enfant regardant à travers l'ouverture d'une tente.

Un coiffeur, dans le camp de déplacés de Khanaqin.

Des enfants dans les rues du camp de Khanaqin.

Des habitants du camp de Khanaqin.

MSF supporte l’unité de soins intensifs de l’hôpital général de Souleymanieh.

Dans le nord de l’Irak, MSF soutient les urgences de l’hôpital général de Souleymanieh dédié aux traumatismes.

Les urgences et les soins intensifs de l’hôpital Souleymanieh reçoivent en moyenne 2650 patients par mois.

Un patient dans le centre de soins intensifs de l'hôpital général de Souleymanieh.

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La ville de Jalawla, située dans le nord-est de l’Irak, a subi d’importants dégâts après les combats intenses qui ont eu lieu dans la région.

En mai 2016, le photographe hollandais Ton Koene a documenté la vie quotidienne de dizaines de milliers de déplacés en Irak, dans les gouvernorats de Souleymanieh et de Diyala, situés dans le nord-est du pays.

De nombreux habitants ont fui Jalawla lorsqu’elle a été prise par les combattants de l’État Islamique, qui ont ensuite abandonné la ville pendant l’offensive de l’armée irakienne.

Le poste de garde de l’entrée de la clinique de MSF dans le camp de Khanaqin (Alwand1) situé dans le nord-est de l’Irak.

MSF a petit à petit augmenté ses activités dans 11 gouvernorats irakiens afin de fournir gratuitement des soins de santé, des services de santé mentale et des kits de secours aux déplacés, aux rapatriés, aux communautés d'accueil et aux réfugiés syriens.

MSF propose des soins de santé mentale aux déplacés du camp de Khanaqin.

Une séance de soutien psycho-social dans le camp de Khanaqin.

La clinique de MSF pour les maladies non contagieuses du camp de Khanaqin. Ici les médecins examinent des patientes atteintes de diabète et de palpitations cardiaques. Des pathologies qui nécessitent des visites médicales régulières.

Les déplacés du camp utilisent des citernes et de gros bidons pour accéder à l’eau potable.

 Dans le camp de Khanaqin, la vie s’organise. Des déplacés ont recréé de petits commerces.

Un enfant regardant à travers l'ouverture d'une tente.

Un coiffeur, dans le camp de déplacés de Khanaqin.

Des enfants dans les rues du camp de Khanaqin.

Des habitants du camp de Khanaqin.

MSF supporte l’unité de soins intensifs de l’hôpital général de Souleymanieh.

Dans le nord de l’Irak, MSF soutient les urgences de l’hôpital général de Souleymanieh dédié aux traumatismes.

Les urgences et les soins intensifs de l’hôpital Souleymanieh reçoivent en moyenne 2650 patients par mois.

Un patient dans le centre de soins intensifs de l'hôpital général de Souleymanieh.

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Notes

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