L’étude, publiée aujourd’hui sur le journal
The Lancet Global Health, confirme qu’un décalage criant existe toujours entre les besoins des patients des pays pauvres, et les initiatives de recherche et développement (R&D) médicale.
Pour Jean-Hervé Bradol, directeur d’études au CRASH de MSF et co-auteur de l’étude, « les patients que nous voyons attendent toujours de vraies avancées. Ils meurent toujours de ces maladies [négligées], et les soignants devraient pouvoir proposer à tous les patients, qu’ils soient pauvres ou riches, le meilleur traitement possible. Seulement alors on pourra dire qu’on a réellement avancé ».
Plus de détails sur le site du DNDi
L’étude est disponible sur le site de The Lancet Global Health (en anglais)
Cette étude fait suite à une première recherche menée en 2001 par MSF et le Drugs for Neglected Diseases Working group (prédécesseur du DNDi), disponible ici.