République centrafricaine - Bangui : la peur au quotidien

Rues de Bangui janvier 2014
Rues de Bangui, janvier 2014 © Juan Carlos Tomasi/MSF

Sur la route du centre Castor. L'équipe MSF doit se mettre à l'abri des tirs. Du fait des affrontements et de l'insécurité, l'accès aux structures de Santé reste très difficile.

30 000 personnes déplacées vivent dans le camp surpeuplé de Don Bosco à Bangui.

30 000 personnes déplacées vivent dans le camp surpeuplé de Don Bosco à Bangui

MSF a lancé un programme de prise en charge de la malnutrition dans le camp de Don Bosco.

Les femmes du camp de M'Poko où 100 000 personnes se sont réfugiées. Le bâtiment de l'aéroport a été transformé en un dispensaire et une maternité. Les équipes MSF dispensent environ 3 000 consultations par semaine.

Seule une petite partie de la population vivant au camp de M'Poko a reçu des bâches en plastique pour s'abriter.

Beaucoup de patients de l'hôpital communautaire où MSF travaille depuis décembre dernier ont été blessés aux jambes. Ils doivent être hospitalisés pendant 45 jours et mis sous traction pour pouvoir guérir.

Ce patient a été blessé par une machette.

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Sur la route du centre Castor. L'équipe MSF doit se mettre à l'abri des tirs. Du fait des affrontements et de l'insécurité, l'accès aux structures de Santé reste très difficile.

30 000 personnes déplacées vivent dans le camp surpeuplé de Don Bosco à Bangui.

30 000 personnes déplacées vivent dans le camp surpeuplé de Don Bosco à Bangui

MSF a lancé un programme de prise en charge de la malnutrition dans le camp de Don Bosco.

Les femmes du camp de M'Poko où 100 000 personnes se sont réfugiées. Le bâtiment de l'aéroport a été transformé en un dispensaire et une maternité. Les équipes MSF dispensent environ 3 000 consultations par semaine.

Seule une petite partie de la population vivant au camp de M'Poko a reçu des bâches en plastique pour s'abriter.

Beaucoup de patients de l'hôpital communautaire où MSF travaille depuis décembre dernier ont été blessés aux jambes. Ils doivent être hospitalisés pendant 45 jours et mis sous traction pour pouvoir guérir.

Ce patient a été blessé par une machette.

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Notes

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